« Une vie sans éclat et attentive au simple est semblable à ces coings à la peau duvetée et à l’apparence rugueuse qui, mûrissant dans l’ombre, embaument l’air du cellier – comme fait le corps d’un saint après sa mort. »
Christian Bobin, « Prisonnier au berceau », 2005
Un jardin en forêt de Darney 
Il est quand même bon ce Bobin !
Envoyé de mon iPhone
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N’est-il pas !
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Hmmm des bons coings en gelée. Quel sentiment de paix et d’harmonie dans cette photo d’automne! Passe une belle soirée Danielle.
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En plus du texte la photo est magnifique, sentiment de paix et d’harmonie…merci Danielle
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Les mots merveilleux de Chrstian Bobin pour cette belle photo, comme c’est agréable.
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Très appétissants ces coings ! Ce n’est pas un fruit facile à trouver quand on vit en ville, et pourtant très bon.
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Oui ! Et pour moi qui suis une « néo-rurale », ou plutôt une nouvelle campagnarde, je découvre les délices de leur parfum ! Un doux parfum de sainteté comme dit Christian Bobin. Belle semaine !
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Merci, belle semaine à vous aussi Danielle !
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