« Et je te dis de vivre… »

Quand un cauchemar chasse

une autre cauchemar

rêve de printemps


« Un grand soleil d’hiver éclaire la colline
Que la nature est belle et que le coeur me fend
La justice viendra sur nos pas triomphants
Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline
Et je te dis de vivre et d’avoir un enfant »

Aragon

18 Replies to “« Et je te dis de vivre… »”

    1. Je te comprends, Sandrine. Bien avant cette guerre, je m’étonnais qu’on puisse mettre des enfants dans ce monde tel qu’il est. C’est en voyant ces jeunes pères ukrainiens faire leurs adieux à leur femme et à leurs enfants à la frontière polonaise que le poème d’Aragon m’est revenu en mémoire. La même acceptation du sacrifice, la même foi en la vie. Nous sommes probablement trop décadents pour pouvoir comprendre…

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