Même si l’été n’en finit pas, même si la forêt et les collines restent bien vertes, même si les rosiers s’obstinent à refleurir, le mois de novembre réveille l’écho d’Apollinaire, soumis pour l’éternité « au chef du signe de l’automne »…

« Ma vie est recueillie en ma saison factice
Et je feins d’écouter la chute des fruits mûrs
Tandis qu’une araignée entre mes bras se tisse
La toile où tôt cherront les pucerons impurs«
« L’automne et l’écho » in « Le guetteur mélancolique »


