
Portes ouvertes

Entre étang et ruisseaux, vivaces, rosiers, hydrangeas…
Et dire qu’en octobre dernier, je voulais les brûler ! Il ne leur restait plus une seule feuille saine malgré les effeuillages sélectifs, les pulvérisations régulières, les nettoyages du sol. C’est probablement la météo qui a sauvé les rosiers. J’étais trop découragée pour travailler au jardin et mettre la menace à exécution.
Et ce printemps, merci aux amies jardinières pour leurs bons conseils, les rosiers renaissent des cendres que j’ai répandues à leur pied.
Taillés mi-avril plus que sévèrement, ils n’ont pas encore l’envergure ou la hauteur qu’ils devraient avoir mais ils semblent pleins de promesses…
…et de consolations quand fanent les dernières pivoines.