« Tant qu’il y aura des arbres, il y aura des hommes. » Sentence de virologue ou d’épidémiologiste ? Non, proverbe papou. Cité par Nancy Huston, en pleine réflexion, comme nous tous, sur les lendemains de la pandémie. Invitée ce dimanche par France Inter pour la parution de son nouveau livre « Je suis parce que nous sommes », elle interpelle étrangement les femmes face à la catastrophe écologique :

« Les femmes ont la responsabilité et la possibilité subversive de récompenser les mâles alpha ou de leur préférer des hommes doux, des hommes subtiles. Elles ont le choix de cesser de récompenser la force destructrice des garçons. »
Voilà une vision très « genrée » de l’empreinte écologique qui me laisse perplexe…