les jeunes herbes
entre chaque brin
miroite l’eau
Un « profond sentiment solitaire d’impermanence »… éveillé ou réveillé par le billet de Marie-Anne dédié à « Chiyo-Ni, bonzesse au jardin nu » ? Il m’a laissée en arrêt devant les jeunes pousses d’après la pluie à l’orée de la forêt…

J’ai cherché
sous les nuages de pluie
ventre gonflé
la grenouille
mais c’étaient encore des nuages d’hiver…
Merci Marie-Anne
