L’été 2018 déjà, nos hortensias avaient triste mine, des hortensias trentenaires qui faisaient la fierté des anciens propriétaires . Cette année, le mois de juin a passé ce mur de fleurs au gril. Pas question de déplacer cet alignement d’arbustes devenus imposants et aux racines entremêlées, refuge des rouges-gorges et de toute une faune invisible qui échappe même aux chats.
Même en lisère de forêt, cette bordure exposée à l’Est ne supportera pas une canicule de plus. La solution, espérons-le, est de leur faire de l’ombre. Ils auront donc une pergola de branches de saules qui va se couvrir de glycines et de chèvrefeuilles.

Wisteria floribunda Macrobotrys 
Wisteria sinensis Alba
Et, au milieu du jardin de moines, encore de l’ombre, avec une treille qui va se couvrir de rosiers lianes : American Pillar et New Dawn. Et peut-être que les clématites daigneront enfin pousser en si bonne compagnie…



