Petit bilan de santé en ces premières semaines d’automne : qui a survécu à cet été torride ? Quelles plantes diviser ou bouturer en prévision de la prochaine canicule ?
Armoises, orpins et pérovskias
C’est le trio gagnant de l’été, avec les santolines et les népétas rampants. Problème : ça fait beaucoup de feuillages argentés tout cela…

La mauve en arbre
Ce n’est pas ma préférée mais il faut reconnaître que le jardinier paresseux peut difficilement trouver mieux. Là, en terrain sec, avec un arrosage minimal, elle fleurit en continu. Près de la maison, dans un sol pollué par les chauffagistes, où toutes les plantes sont mortes, elle s’épanouit sans problème. Je vais en faire de nouvelles boutures, inratables, pour les coins les plus difficiles du jardin.

Vernonia
Repérées il y a trois ans au Jardin botanique de Nancy, triomphant de la sécheresse parmi des plantes desséchées, j’en ai planté trois souches et elles ne m’ont pas déçue. Elles forment un énorme massif de 2 mètres de haut à la floraison généreuse (comme celle de asters mais un peu plus précoce) et au feuillage insensible aux maladies. Cet automne, je vais faire une première tentative de division…

Immortelles
Bien nommées, car elles reviennent plus vigoureuses année après année, mais un peu décevantes tout de même car la fanaison est vraiment triste. Il faut donc les couper ras dès les premières pluies d’automne. C’est vrai pour l’Anaphalis margaritacea Neuschnee (photographiée avant la pluie à la mi-septembre) comme pour l’ Anaphalis triplinervis, ou Immortelle de l’Himalaya.

Oh je découvre le Vernonia, jadore ! Merci pour l’info 😉
Bon weekend, bises !
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