De canicule en sécheresse, le rêve de voir un jour fleurir une vallée d’azalées et de rhododendrons le long du ruisseau s’était bien rabougri. Côté jardin, dans le creux de la pente, ils prospèrent plus que de raison, étouffant leurs voisins hydrangéas.
Côté forêt, ils vivotaient à moins qu’ils n’aient déjà succombé. Et voilà qu’un hiver et un printemps de pluie ont redonné vie au rêve. Ou aux illusions…
Incroyable! C’est superbe! Profitez bien de cette magnificence 🙏😍😘
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Que c’est beau, ça fait rêver !
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Après les derniers étés, nous aussi on croit rêver !
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ne jamais désespérer de la nature, le jardin me l’a appris 🙂
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Toutes ces pluies sont pénibles pour les humains mais très bénéfiques pour les plantes ! C’est vraiment magnifique.
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La pluie n’est pénible que pour ceux qui se sont coupés de la nature 😊
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Ah oui, c’est vrai… Les citadins comme moi perdent la notion des choses 🙂
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Oui le jardin semble bien parti cette année pour prospérer, espérons que cela dure. Juste un jour de vilaine gelées qui a bouzillé mon Laurier Platane et les feuilles supérieures de mon Lilas des Indes. Amitiés.
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Très chouette vue vers le petit pont – vive la pluie (mais pas trop non plus ;-).
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Tant qu’y a de la vie, comme on dit 😉. C’est tellement beau des rhododendrons. J’en ai profité un peu à Vancouver en mars. Au Québec, je ne sais pas si ça fleurit. Apparemment que oui, mais je ne pense pas en avoir déjà vu ici.
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