Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne
Guillaume Apollinaire, « Alcools »
Partant j’aime les fruits je déteste les fleurs
Je regrette chacun des baisers que je donne
Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs
Mon Automne éternelle ô ma saison mentale
Les mains des amantes d’antan jonchent ton sol
Une épouse me suit c’est mon ombre fatale
Les colombes ce soir prennent leur dernier vol
Un jardin en forêt de Darney 
Que c’est beau !
Avec un tel chatoiement de couleurs, on se croirait presque au printemps…
L’automne m’est un total éblouissement.
merci beaucoup, et pour les images et pour les mots.
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Merci Danielle de nous partager cette belle poésie et ce superbe pommier bien coloré.
L’automne c’est un peu une belle palette de couleurs dans la grisaille. C’est une saison que j’apprécie pour sa fraîcheur apaisante, et son ambiance particulière, si calme par rapport à l’été.
Je te souhaite un excellent dimanche
Benjamin
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Oui, ce petit pommier est un miracle de vitalité et de générosité. La chaleur, la sécheresse, rien ne l’atteint. Il est beau en toutes saisons. Cet hiver, ses petites pommes vireront au rouge et feront le bonheur des oiseaux jusqu’au printemps. Merci de ta visite, Ben, et beau dimanche ! Danielle
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C’est vrai que ce pommier a des couleurs merveilleuses, très appétissantes !
J’aime l’idée de l’ombre qui nous épouse de près… très belle image.
Bonne soirée Danielle 🙂
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Oui, je reste fascinée par les images d’Apollinaire, ce choc entre des images si évocatrices de la beauté et de la douceur de la nature et son désespoir… Merci de ta lecture (je laisse les petites pommes aux oiseaux) amitiés, Danielle
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Bonjour Danielle,
Je passe par le lecteur pour te remercier de ton message d’anniversaire.
C’est très gentil !!
Mon blog a vraisemblablement un bug que je vais essayer de résoudre, mais que c’est compliqué 😉
Bonne journée
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